Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

L’art urbain c’est bien entendu de la créativité et du talent, mais ces deux composantes ne sont rien sans un bon support.
Un artiste de rue se démarque donc de par son univers graphique, de par la technique utilisée mais surtout (et selon moi c’est primordial) de par l’utilisation de la rue qu’il choisit.
Le collectif TR853-1, en plus d’avoir un univers parfaitement dans l’esprit street art, a choisit un support non-conventionnel comme je les adore : les ombres.
Ils arpentent donc les rues à la recherche du spot éphémère idéal pour leur skateur.
Tout ceci me rappel énormément le concept d’instant de perfection développé brillamment par Chuck Palahniuk dans son roman Fight Club. Saine lecture que je ne peux que vous recommander.

Une installation aussi féerique que démesurée pour fêter dignement les 60 printemps du célèbre jeu de plateau pour enfants d’Hasbro : Candy Land.
Cand Land est un jeu de plateau créé dans les années 40 en Californie par Eleanor Abbott.
Le lieu est donc tout choisit : Lombart Street à San Francisco. Cette rue est célèbre de par ses huit virages sinueux qui lui ont permis d’obtenir la distinction de route la plus sinueuse des Etats-Unis.
L’endroit colle parfaitement avec la forme du jeu de société qui s’apparente à une jeu de l’oie simplifié.
L’idée est donc limpide : reconstituer grandeur nature le plateau du jeu dans la rue.
Superbe événement qui a engendré énormément de retombées dans la presse et qui a permis à de nombreux enfants d’expérimenter leur jeu de plateau favori grandeur nature.

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Afin d’augmenter ses ventes de Pantone, le libraire Basheer Graphic Book a décidé de mettre en avant la très large gamme de couleurs du célèbre nuancier auprès des étudiants de l’université de Jakarta.
La meilleure solution pour mettre en avant une myriade de couleurs est bien entendu l’arc-en-ciel, c’est donc l’idée créative qui est retenue.
Les étudiants ont ainsi vu fleurir un arc-en-ciel de 4,5 mètres de large et de 8 mètres de haut contenant plus de 5000 couleurs soigneusement assemblées.
Le résultat est splendide et les ventes de Pantone ont bien entendu augmentées chez Basheer.

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Le concept du message révélé grâce à des poussières venant se coller sur l’affiche n’est pas révolutionnaire, mais je trouve cette campagne pour Fjall Raven assez pertinente.
Le premier jour, un double billboard ne présentant qu’une tente propose une mise en avant du produit et de la marque façon teasing.
Puis la promesse de la campagne et le prix de la tente sont inscrits grâce à de la colle bien connue des handballeurs.
Avec le passage des voitures et ainsi le dépôt de poussière, le message apparaît : Un peu d’air frais vous ferait du bien.
Un concept déjà vu mais très pertinent pour ce type de produit.

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En deux ans, le ministère des transports chinois a déploré 116.000 morts directement liés à la conduite sous l’emprise de l’alcool. La conclusion est qu’un conducteur a 16 fois plus de chances d’avoir un accident s’il est saoul.
L’idée créative s’impose d’elle même : placer 16 réverbères au lieu d’un seul dans un quartier emplit de clubs.
La body copy est limpide : si vous conduisez après avoir bu, vous avez 16 fois plus de chances de mourir.
Un site internet (en chinois bien sur) relaie l’action : 122.com

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