Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

Elf, une petit ONG basée à New Delhi, est désireuse de sensibiliser les indiens aux dangers écologiques liés au plastique. Le plastique est un matériau quasiment immortel dont il est très dur de se débarrasser. La démonstration des vertus du plastique passe par un corollaire assez étrange bien que très à propos. L’idée est de construire une statue de Osama Bin Ladem – un personnage dont on n’arrive pas à se débarrasser – entièrement en plastique.
Une diabolisation métaphorique du matériau qui semble impactante pour les quelques spectateurs de cette oeuvre. Mais comme toutes les opérations de ce type, on déplore son manque de visibilité, aussi marquante soit-elle.

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La chaîne de magasins d’électroménager Best Buy a lancé assez récemment son programme de recyclage. Chacun de leur consommateur a la possibilité de ramener dans un magasin ses appareils usagés afin qu’ils soient recyclés.
Pour communiquer sur cet engagement, Best Buy propose un billboard visible à Times Square. L’affichage est en réalité composé d’une multitude d’appareils électroménagers.
La marque promet à ses consommateurs qu’elle recycle tout, même les produits achetés chez les concurrents. Une très belle preuve de l’engagement pour l’environnement, mais surtout un excellent coup de pub.
Une initiative qui rappelle le billboard recyclé de Leroy Merlin au Brésil.

source : TrendHunter + Gizmodo + Un tweet de Jérôme + merci Ypsilon2 pour la vidéo

Petit complément à mon précédent article sur le Human Rights Film Festival, où la coupe du monde des sans abris est à l’honneur.
Un excellent concept donnant une nouvelle vie à une annonce presse.