Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

Le DNA Project est une association sud africaine qui « se bat contre le crime grâce à la science ». Son principal combat : faire comprendre aux populations locales qu’interférer avec une scène de crime permet à de nombreux criminels de prendre la fuite sans jamais être retrouvé. Pour ce faire, son agence FoxP2 a imaginé une opération d’activiation disposée dans la principale gare du Cap. Le visage d’un criminel a été reproduit au pochoir directement sur des gravillons blancs. C’est le passage des voyageurs qui fait disparaître le visage du meurtrier, donnant ainsi tout son sens à l’accroche.

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En marge de son affichage dans le métro, le Service Civique s’expose en alternatif dans les rues parisiennes. L’idée de son agence TBWA\Paris, utiliser un moyen de communication parfaitement respectueux de l’environnement et de l’espace urbain : le clean tag. Cette technique s’apparentant à celle du pochoir consiste à laver de manière sélective un mur au Kärcher afin d’y faire apparaître une silhouette propre. Les différentes réalisations reprennent évidemment les missions du Service Civique : aide aux sans abris, restauration du patrimoine historique ou encore le nettoyage de déchets.
Une très belle idée capitalisant sur un moyen de communication en accord parfait avec le message.

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L’agence rennaise yummycommunication a imaginé une opération de marketing alternatif assez innovante pour le lancement de la nouvelle Mini Countryman en France.
Cette agence, spécialisée dans le marketing alternatif et durable, a adopté une technique qui semble encore plus « propre » que l’est celle du clean tag : des pochoirs réalisés à la terre.
Une installation qui n’attire pas forcément l’oeil mais qui reste en parfait accord avec le nom du véhicule Mini Countryman (littéralement campagnard).

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Il y a un peu plus d’une semaine, WWF communiquait dans le monde entier sur son opération nommée Earth Hour et incitait les habitants de la Terre à éteindre tous leurs appareils électriques. Un très belle initiative qui, en déplaira à certain, a pour principal objectif la sensibilisation et non l’économie d’énergie. Une autre ONG, Greenpeace, a pour sa part choisit le long terme et a préféré la véritable économie à la seule sensibilisation. C’est au travers de pochoirs – un art urbain initié par l’artiste français Blek le Rat et démocratisé par le très connu Banksy – que l’agence Grupa 66 Ogilvy a décidé de communiquer.
Les polonais ont ainsi pu découvrir quelques ours fermement attachés à des chaises électriques par lesquelles le courant doit transiter avant d’atteindre l’éclairage public. Un message simple est associé à ce visuel : Sauvez l’ours, éteignez la lumière.

source : Hatalska