Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

Désireux de mettre en avant son engagement citoyen pour le recyclage des déchets et pour une planète plus propre, le centre commercial Eaton Center de Montréal a fait appel au street artiste Peter Gibson – plus connu sous son pseudonyme Roadsworth – et au collectif Projekroom pour réaliser une installation entièrement composée de matériaux récupérés dans les ordures du centre commercial. Le regroupement a donc créé une installation simulant la nature à base de déchets. Sobrement nommée Fragile, la réalisation est composée notamment 13 750 Bouteilles en plastique.

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Afin de promouvoir le Drive Out Loud – l’événement annuel rassemblant tous les fans de la marque au Moyen Orient – Mini a mis en place un PR Stunt pour le moins surprenant. Il ne s’agit pas ici de montrer un attribut spécifique du véhicule ni même de mettre en avant sa résistance, l’idée est tout simplement de surprendre le chaland grace à un point de contact inattendu. Ce point de contact n’est autre que le fond de l’aquarium géant du Dubai Mall.
Alors certes, cette opération n’est pas géniale stratégiquement parlant, mais elle offre une très forte visibilité à la marque et renforce l’image décalé que Mini sait parfaitement cultiver.

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Pour la sortie australienne du nouveau roman policier de la fameuse écrivain américaine Patricia Cornwell, l’agence US Sydney a eu l’idée de transformer un affichage en grande surface en une preuve médico-légale.
Une idée qui colle parfaitement à l’univers de Scarpetta Factor, le nouveau thriller macabre de l’auteur native de Miami.

source : BestAds

Voici une bien jolie suite à un article précédent.

Axa reste dans la mise en scène de panneaux publicitaires, cette fois ci pour mettre en avant sa stabilité.