Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

Utiliser un ascenseur permet aux annonceurs de toucher une cible précisément identifiée. Qu’il s’agisse de professionnels, adressés directement sur leur lieu de travail, ou de consommateurs adressés dans les centres commerciaux.
De par son apparence, son utilité et son mécanisme un ascenseur offre aux créatifs du monde entier un support d’expression incroyable. On distingue trois différentes techniques inhérentes à ce support : l’utilisation du mécanisme des portes, l’utilisation du sol et l’utilisation du mouvement.
J’ai essayé d’être exhaustif, malgré cela, certains concepts m’ont forcément échappé, n’hésitez pas à me le faire remarquer en commentaire.

Pour retrouver les précédents articles/dossiers c’est ici : Cinemarketing, Mini, Smart, Icevertising et les doubles affichages.

I/ L’utilisation des portes :

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Voici une campagne imaginée par l’agence Big Ant qui n’est pas forcément récente, mais qui est passée plus ou moins inaperçue.
L’annonceur est ici une clinique de chirurgie esthétique hébergée au troisième étage d’un bâtiment.
L’objectif est tout simplement de faire connaître cette clinique à tous les visiteurs du bâtiment.
L’idée est simple mais brillante : reprendre la fresque « La Création d’Adam » de Michel Ange et utiliser le bouton d’appel de l’ascenseur comme point de contact entre Dieu et le visiteur.
La marque promet : Be born again.

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L’objectif de cette campagne était d’augmenter le nombre de prescription de Folliderm, un produit qui prévient la chute des cheveux.
Ce sont les ascenseurs de certaines entreprises et résidences qui se transforment en point de contact avec la cible.
Le message est simple : Vous avec peur de perdre vos cheveux ? Demander à votre docteur de vous parler de l’efficacité de 4+1 (nom du produit).
Après être devenu le principal sujet de conversation dans les ascenseurs, le produit a vu ses ventes augmenter significativement dans les zones où les stickers furent placés.

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