Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

Afin de mettre en avant l’efficacité de Dulcolax – un remède contre la constipation – deux étudiants coréens ont eu l’idée de disposer un billboard directement sur un roller coaster. Évidemment, le passage du train sur les rails simule de manière très imagée l’effet du médicament. Une idée qui permet d’obtenir de belles images, mais pas certain que l’annonceur puisse acheter ce type de réalisation.

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La chaine de grandes surfaces coréenne Emart, désireuse d’augmenter ses ventes durant le repas de midi, a fait appel à l’agence Cheil. L’idée proposée : mettre en place des ventes flash à l’heure du déjeuner grâce à un QR Code géant disposé dans les principales villes de Corée du Sud. Jusque là rien de remarquable. Ce qui permet à cette opération de sortir de l’ordinaire, c’est la technique utilisée pour faire en sorte que le QR Code ne soit scannable qu’entre midi et 13h. Il s’agit ici d’utiliser la lumière du soleil et des ombres qu’elle crée pour donner vie au QR Code.

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Le Nikon D700 travaille son image de marque en s’affichant dans un centre commercial coréen.
L’opération se compose d’un affichage muni de flashs, de capteurs de mouvements et d’un tapis rouge menant directement à une boutique Nikon.
Résultat, 500 000 personnes flashés par jour et une augmentation significative des ventes de l’appareil photo.

Les laboratoires Pfizer, dans l’impossibilité de communiquer sur la TV Coréenne, optent pour un envoie d’éventails aux médecins urologues du pays.
Excellente idée, mais les individus mis en scène (un sumo et un papy) ne sont-ils pas les plus susceptibles d’avoir des problèmes cardiaques ?
Et qu’y a-t-il au verso : l’endroit ou l’ont enfile son doigt ?

L’institut des langues étrangères de l’université Korea troque les flyers contre des langues ! 

Impactant et novateur, l’apprentissage d’une langue étrangère n’a jamais été aussi excitant…