Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

A l’occasion du lancement du film Paranormal Activity, Wild Bunch Distribution et JCDecaux Innovate se sont associés pour mettre en scène des phénomènes étranges dans les abri bus JCDecaux Mobilier Urbain.
Un procédé inédit recrée derrière une toile tendue blanche des mouvements paranormaux dans le caisson de l’abri bus. Oscillations mystérieuses, secousses fantastiques, autant de manifestations qui évoquent l’esprit paranormal du film.
Cette innovation est une bonne idée, mais la réalisation reste assez pauvre. Pour être resté plus de 30 minutes à proximité de l’installation, très peu de passants se sont arrêtés dessus.

Voici une très bel habillage de bus réalisé à Copenhague pour fêter les 150 ans d’un zoo local.
C’est l’agence Bates & Werksette qui a créé ce dispositif mis en place en collaboration avec Clear Channel Outdoor.
Le trompe l’oeil est plutôt bien réalisé, je ne suis pas sur que le message soit diffusé, mais en tout cas, l’effet de surprise est bien réel !

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Une petite franchise de salon de coiffure a décidé de mettre en avant son nom au travers d’un produit renforçant les cheveux.
Leur budget limité ne leur permet pas d’investissement média.
Ainsi pour promouvoir son shampooing, l’enseigne a choisit de toucher sa cible dans son quotidien.
Cette opération d’ambient marketing s’apparente fortement à du wait marketing.
En tout cas très belle mise en avant de la principale spécificité du produit.
Pour quelques précisions et une ouverture pour cette campagne c’est ici.

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Pour sa troisième génération, la Toyota Prius reste fidèle à son positionnement : l’harmonie entre les Hommes, la nature et les machines.
Elle prouve ici qu’il est possible d’utiliser l’air conditionné sans surplus de consommation.
La méthode est simple : la preuve par la démonstration.
Un abri bus est équipé d’un panneau solaire lui fournissant l’énergie nécessaire pour envoyer de l’air frais.

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Une campagne pas toute jeune de Career Builder, mais qui a très bien vieillit.
Elle utilise un point de contact totalement novateur, et unique semble-t-il.
Seul bémol, les cadres new-yorkais regardent-ils souvent par la fenêtre ?

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