Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

À l’occasion du festival d’art et d’architecture Urbis Designday 2013, la marque de peinture Resene s’est associée au cabinet d’architecture Matter afin de mettre en place une installation artistique pour le moins surprenante. Cette réalisation de très grande envergure a pris vie sur la rampe d’accès d’une autoroute d’Auckland. Les vélos multicolores semblent tous fuir l’agglomération, ils permettent de soulever une question : pourquoi les routes inutilisées ne sont-elles pas accessibles aux les cyclistes ?

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Pour marquer le 1er avril, la marque Heineken a décidé de surprendre ses consommateurs hollandais. Plus précisément il s’agit des habitants d’Amsterdam. Dans cette ville où bon nombre de personnes se déplacent en vélo, l’idée émerge rapidement : remplacer les cagettes originelles par des cagettes de bière brandées.
Une idée assez simple, une vidéo très bien tournée et montée, mais un doute : combien de cagettes ont réellement été remplacées ? et est-ce que les consommateurs piégés sont si content que ça de devenir une publicité ambulante ?

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J&R, un magasin d’électroménager new-yorkais a imaginé une opération de street marketing afin de promouvoir son service de livraison express. Pour tout achat, l’enseigne garantit une livraison dans la journée. Ce sont donc des livreurs à vélo qui furent mis en scène dans tout New York, chaque porteur, tel Sisyphe et son rocher, était affublé d’un colis plus gros que de raison – et vide espérons-le – afin de mettre en avant la promesse de l’enseigne « same day delivery ».
Plus qu’une simple coup de pub, l’opération pensée par l’agence Toy revêtait un aspect social puisque toutes les personnes ayant réussit à photographier un des livreurs et l’ayant posté sur le compte twitter de l’entreprise s’est vu remettre un bon d’achat de 10$.

source : BrandFreak + Flickr

Le New Museum est, comme son nom ne l’indique pas, un musée d’art contemporain construit à NY en 2007. Une opération un peu datée donc, mais qui n’a pas perdu en originalité ni en efficacité.
Pour son lancement, l’agence de communication Drogba5 a décidé de capitaliser sur le logo du musée qui est aussi sa forme. La campagne décline donc le logo sur de nombreux supports : l’affichage où le poster recouvre d’anciennes affiches les laissant seulement apparaître au travers du logo découpé, en métro où des trompe-l’oeil utilisent la forme du logo et se jouent des carreaux, en outdoor où de la peinture recouvre petit à petit d’anciennes affiches, et encore en guérilla où un vélo reprend la forme du musée.
Très belle opération avec une excellente mise en avant de la principale spécificité du musée.

via et via et merci à Clément pour les précisions primordiales.